
À qui s’adressent nos services ?
Symbiose Haut-Richelieu offre un service de maillage gratuit aux entreprises du Haut-Richelieu, qu’elles soient membre ou non de la CCIHR, qui cherchent à :


Bilan de l'année 1 de Symbiose Haut-Richelieu
C’est avec fierté que nous vous présentons les résultats des efforts de la première année de la Symbiose.
Répertoire des maillages de l'année 1
Vous trouverez dans ce répertoire les maillages réalisés dans la premières année avec les entreprises du Haut-Richelieu.
Qu'est-ce que l'économie circulaire ?
Actuellement, le modèle économique en place relève de l’économie dite « linéaire », ce qui signifie que la matière est extraite, utilisée dans la fabrication de produits, consommée puis jetée à la fin de son utilisation. L’économie dite « circulaire » cherche plutôt à optimiser l’utilisation des ressources lors de chaque étape du cycle de vie d’un bien ou d’un service et à donner une nouvelle vie aux matières restantes au bout de la chaîne de production.
Source : Synergie Haute-Yamaska
En savoir plus sur les 12 stratégies de l’économie circulaire
En savoir plus sur l’économie circulaire
Symbiose Haut-Richelieu
C’est quoi ? C’est quoi ?
Symbiose Haut-Richelieu est un nouvel acteur économique dans le Haut-Richelieu qui se veut le centre de référence en économie circulaire. En collaborant avec les organismes de développement économique locaux, nous visons à accélérer l’implantation de l’économie circulaire dans les pratiques d’affaires des organisations du territoire.
Notre mission ? Soutenir les entreprises dans leur développement grâce à l’économie circulaire pour bonifier leur modèle d’affaires afin de les aider à innover et à réduire leurs coûts d’opération.
Symbiose Haut-Richelieu est fière de faire partie de la communauté Synergie Québec, un réseau regroupant des organismes engagés dans le domaine de l’économie circulaire au Québec.
Combien ? Combien ?
Notre service de maillage est gratuit.
Contactez notre conseiller en économie circulaire pour en savoir plus.
Saviez-vous que pour chaque dollar investi en économie circulaire, vous avez un retour sur investissement de 1,28$ ?
Pour qui ? Pour qui ?
Toute entreprise qui cherche à :
- Réduire ses coûts de gestion des déchets;
- Créer de nouvelles opportunités d’affaires;
- Innover;
- Réduire son impact sur l’environnement.
Symbiose Haut-Richelieu est là pour vous accompagner.
Pourquoi participer ?
du personnel
de marque
locale
et normes
Nos services
Réalisation d’un audit de vos ressources
La mise en relation avec de potentiels partenaires d’affaires et du soutien dans la création de synergie
Le calcul des retombées du projet
Un accès à une banque d’experts ainsi qu’à des possibilités de mise en valeur pour vos résidus
Un soutien dans la recherche de financement
Les services offerts sont gratuits.
Cependant, dans le cadre d’un échange entre deux entreprise, les frais de transport sont pris en charge par le preneur, à moins d’un arrangement contraire.
Aussi, bien que plutôt rare, le donneur peut exiger un certain montant pour ses matières.
Que pouvez-vous échanger comme ressource ?
Espace de bureau
Capacité de production
Capacité d’entreposage
Capacité de transport
Main d’œuvre et expertise
Machinerie
Matières résiduelles
(bois, papier et carton, plastique, verre, métal, matière organique, produit chimiques, textile, agrégat, etc.)

Saviez-vous qu’au Québec, seulement 3,5% des ressources que nous utilisons sont circulaires ?
Cela signifie que 96,5% des matières sont consommées de manière linéaire (extraites, transformées, utilisées puis jetées).
Pour plus de détails : Rapport sur l’indice de circularité de l’économie
Nos objectifs
Notre principal objectif est d’accompagner les entreprises dans leur démarche de développement durable en économie circulaire
Mobiliser
les organismes de développement économiques pour faciliter le virage des organisations du Haut-Richelieu vers l’économie circulaire
Supporter
les entreprises à réduire leur impact sur l’environnement en les aidant à circulariser leur ressource et à réduire leur émission de gaz à effet de serre (GES)
Identifier
les opportunités, des solutions et mettre en relation avec des experts et des partenaires financiers
Développer
les connaissances sur les opportunités qu’offrent les 12 stratégies de l’économie circulaire
Contribuer
au dynamisme économique du Haut-Richelieu par la création de nouveaux liens d’affaires multisectoriels innovants, par des échanges de ressources à l’échelle locale, autant entre les entreprises qu’avec les citoyens
Promouvoir
les projets de la région en économie circulaire afin de faire rayonner le Haut-Richelieu
Vos nouvelles
Symbiose Haut-Richelieu est fière de soutenir l’atteinte des objectifs de développement durable de l’ONU




La raréfaction de l’eau affecte plus de 40 % de la population mondiale, une proportion inquiétante qui risque de s’aggraver à mesure que les températures augmentent. Bien que 2,1 milliards de personnes aient maintenant accès à un système d’assainissement amélioré, depuis 1990, la raréfaction de l’eau potable est un problème majeur qui touche tous les continents.
De plus en plus de pays connaissent un stress hydrique. La sécheresse croissante et la désertification aggravent déjà ces tendances. D’ici 2050, on prévoit qu’une personne sur quatre sera touchée par des pénuries d’eau récurrentes.
Faire en sorte d’assurer d’ici 2030 un accès universel et équitable à l’eau potable, à un coût abordable, implique d’investir dans des infrastructures adéquates, de fournir des installations d’assainissement et de promouvoir l’hygiène à tous les niveaux. Protéger et restaurer les écosystèmes liés à l’eau est essentiel si nous voulons limiter la raréfaction de l’eau.
Garantir une eau potable universelle, sûre et abordable, revient à fournir à plus de 800 millions de personnes un accès aux services de base et à améliorer l’accessibilité et la sécurité des services pour plus de deux milliards de personnes.
En 2015, 4,5 milliards de personnes n’avaient pas accès à une source d’eau sûre (les excréments n’étaient pas bien traités). En outre, 2,3 milliards de personnes n’étaient pas en mesure de bénéficier d’assainissement de base.
6.3 D’ici à 2030, améliorer la qualité de l’eau en réduisant la pollution, en éliminant l’immersion de déchets et en réduisant au minimum les émissions de produits chimiques et de matières dangereuses, en diminuant de moitié la proportion d’eaux usées non traitées et en augmentant considérablement à l’échelle mondiale le recyclage et la réutilisation sans danger de l’eau


Ces 25 dernières années, le nombre de travailleurs vivant dans l’extrême pauvreté a connu un déclin spectaculaire, malgré les effets importants de la crise économique et de la récession mondiale de 2008. Dans les pays en développement, la classe moyenne représente désormais plus de 34 % du total des personnes employées – une proportion qui a presque triplé entre 1991 et 2015.
Pourtant, alors que la reprise économique mondiale se poursuit, nous constatons un ralentissement de la croissance, de plus en plus d’inégalités, une augmentation de la population active plus rapide que celle des offres sur le marché de l’emploi. Selon l’Organisation internationale du Travail, on recense plus de 204 millions de chômeurs en 2015.
Les Objectifs de développement durable visent à encourager une croissance économique soutenue en tirant la productivité vers le haut et en innovant sur le plan technologique. À ce titre, il est déterminant de promouvoir des politiques qui favorisent l’entreprenariat et la création d’emplois, de même que des mesures efficaces pour abolir le travail forcé, l’esclavage et la traite des humains. Pour ce qui est de ces cibles, l’objectif consiste à parvenir au plein emploi productif et au travail décent, pour tous les hommes et les femmes, d’ici 2030.
8.3 Promouvoir des politiques axées sur le développement qui favorisent des activités productives, la création d’emplois décents, l’entrepreneuriat, la créativité et l’innovation et stimulent la croissance des microentreprises et des petites et moyennes entreprises et facilitent leur intégration dans le secteur formel, y compris par l’accès aux services financiers.
8.4 Améliorer progressivement, jusqu’en 2030, l’efficience de l’utilisation des ressources mondiales du point de vue de la consommation comme de la production et s’attacher à ce que la croissance économique n’entraîne plus la dégradation de l’environnement, comme prévu dans le cadre décennal de programmation relatif à la consommation et à la production durables, les pays développés montrant l’exemple en la matière.


Investir durablement dans les infrastructures et l’innovation est un vecteur clé de croissance économique et de développement. Avec plus de la moitié de la population mondiale qui vit désormais dans les villes, les transports publics et les énergies renouvelables deviennent de plus en plus importants, de même que la croissance des nouvelles industries et des technologies de l’information et de la communication.
Les progrès technologiques permettent en outre de mettre au point des solutions durables aux défis, tant économiques qu’écologiques, tels que la création d’emplois et la promotion de l’efficacité énergétique. Favoriser une industrie durable, ainsi qu’investir dans la recherche et l’innovation scientifiques, constituent deux moyens importants pour faciliter le développement durable.
Plus de 4 milliards de personnes n’ont toujours pas accès à Internet et parmi elles, 90 % appartiennent aux pays en développement. Combler ce fossé numérique est crucial si l’on veut donner accès, dans des conditions d’égalité, à l’information et au savoir, et par là même encourager l’innovation et l’entrepreneuriat.
9.4 D’ici à 2030, moderniser l’infrastructure et adapter les industries afin de les rendre durables, par une utilisation plus rationnelle des ressources et un recours accru aux technologies et procédés industriels propres et respectueux de l’environnement, chaque pays agissant dans la mesure de ses moyens.


Pour concilier croissance économique et développement durable, nous devons réduire d’urgence notre empreinte écologique en modifiant notre façon de produire et de consommer les biens et ressources. L’agriculture est le plus grand utilisateur d’eau au monde et l’irrigation engloutit désormais près de 70 % de toute l’eau douce propre à la consommation humaine.
La gestion efficace de nos ressources naturelles communes et la manière dont nous éliminons les déchets toxiques et polluants sont des cibles clés pour atteindre cet objectif. Encourager les industries, les entreprises et les consommateurs à recycler et à réduire les déchets est tout aussi important que d’aider les pays en développement à adopter des modes de consommation plus durables d’ici 2030.
Une grande partie de la population mondiale consomme encore beaucoup trop peu pour satisfaire même ses besoins fondamentaux. Réduire de moitié le gaspillage alimentaire mondial par habitant chez les détaillants et les consommateurs est également essentiel pour créer des chaînes de production et d’approvisionnement plus efficaces. Cela peut contribuer à la sécurité alimentaire et nous orienter vers une économie utilisant plus efficacement les ressources.
12.2 D’ici à 2030, parvenir à une gestion durable et à une utilisation rationnelle des ressources naturelles
12.4 D’ici à 2020, instaurer une gestion écologiquement rationnelle des produits chimiques et de tous les déchets tout au long de leur cycle de vie, conformément aux principes directeurs arrêtés à l’échelle internationale, et réduire considérablement leur déversement dans l’air, l’eau et le sol, afin de minimiser leurs effets négatifs sur la santé et l’environnement
12.5 D’ici à 2030, réduire considérablement la production de déchets par la prévention, la réduction, le recyclage et la réutilisation


Tous les pays du monde sont témoins des graves répercussions du changement climatique. Les émissions de gaz à effet de serre continuent d’augmenter et ont plus que doublé depuis 1990. Qui plus est, le réchauffement mondial provoque des modifications durables de notre système climatique, qui font peser une menace aux conséquences irréversibles si nous n’agissons pas tout de suite.
Les dommages annuels moyens causés par les séismes, tsunamis, tempêtes tropicales et inondations se chiffrent en centaines de milliards de dollars. Sans parler de l’impact humain des catastrophes géophysiques, qui sont à 91 % liées au climat et qui, entre 1998 et 2017, ont tué 1,3 million de personnes et fait 4,4 milliards de blessés. L’objectif vise à mobiliser 100 milliards de dollars par an d’ici 2020 pour répondre aux besoins des pays en développement et contribuer à s’adapter au changement climatique et investir pour un développement à faible émission de carbone.
Le soutien aux régions vulnérables contribuera à la réalisation de l’ODD 13 mais aussi aux autres objectifs. Ces actions doivent également aller de pair avec les efforts visant à intégrer les mesures de prévention des risques de catastrophe, la gestion durable des ressources naturelles et la sécurité humaine dans le développement national. Il est encore possible, avec la volonté politique et un large éventail de mesures technologiques, de limiter la hausse de la température mondiale moyenne à deux degrés Celsius au-dessus du niveau préindustriel. Cela implique une action collective urgente.
13.3 Améliorer l’éducation, la sensibilisation et les capacités individuelles et institutionnelles en ce qui concerne l’adaptation aux changements climatiques, l’atténuation de leurs effets et la réduction de leur impact et les systèmes d’alerte rapide


Seul un engagement fort, lié à des partenariats et une coopération au niveau mondial, peut permettre de réaliser les Objectifs de développement durable. L’aide publique au développement est restée stable mais inférieure à l’objectif, fixé à 147 milliards de dollars en 2017. Alors que les crises humanitaires causées par les conflits ou les catastrophes naturelles continuent à requérir des ressources financières et de l’aide humanitaire. De nombreux pays ont également besoin de l’aide publique au développement pour soutenir leur croissance et leur commerce.
Le monde actuel est plus interconnecté que jamais auparavant. L’amélioration de l’accès aux technologies et à la connaissance favorise nettement le partage des idées et l’innovation. La coordination des politiques d’aide à la gestion des dettes des pays en développement, ainsi que la promotion des investissements dans les pays les moins développés, sont essentielles afin de parvenir à une croissance et à un développement durables.
Les objectifs visent à améliorer les coopérations Nord-Sud et Sud-Sud, par l’appui aux plans nationaux destinés à atteindre toutes les cibles. Promouvoir le commerce international et aider les pays en développement à accroître leurs exportations, font partie intégrante de la réalisation d’un système de commerce universel, basé sur des règles, équitable, qui soit juste et ouvert, et qui bénéficie à tous.
17.14 Renforcer la cohérence des politiques de développement durable
17.17 Encourager et promouvoir les partenariats publics, les partenariats public-privé et les partenariats avec la société civile, en faisant fond sur l’expérience acquise et les stratégies de financement appliquées en la matière